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Publié le jeudi 2 février 2017
Pour décrocher un emploi et le garder, la démonstration de compétences techniques est indispensable. L’ingénieur doit jongler avec les cosinus, le contrôleur avec un pied à coulisse, le médecin avec son stéthoscope et le garagiste avec une clé à molette. Mais à expertise technique égale, vers quel professionnel se tourne-t-on ? Celui qui prend du temps à répondre à nos questions ou celui qui nous traite comme un client portant un numéro dans le dos ?
Si les connaissances techniques permettent d’ouvrir des portes, le savoir-faire interpersonnel permet de les garder ouvertes. Avoir la bonne attitude, savoir communiquer, savoir travailler en groupe, être flexible font partie du savoir-être de tout professionnel. Faut-il encore pouvoir adapter ses compétences sociales à son activité et ses responsabilités. Ainsi ce qui apparaît comme un « plus » n’est autre qu’un bouquet de compétences recherchées par les organisations. Bonjour aux générations Y ou Z !
Fort de ce constat, ARIAQ propose dès aujourd’hui pour ses formations certifiantes, un complément « plus » orienté aussi sur les compétences sociales. Les formations de base ne changeront pas. Par contre, ceux qui le désirent, pourront suivre un complément, à la suite de la formation de base, prenant en compte les soft skills indispensables pour progresser professionnellement. Ainsi, pour chaque formation certifiante, ARIAQ proposera une opportunité d’acquérir des compétences interpersonnelles directement liées aux responsabilités des fonctions de contrôleur, de chef de projet, de responsable en système de management, etc. Ce « plus » est optionnel mais il sera pleinement reconnu par la SAQ. Les certificats délivrés en feront dorénavant état.
N’hésitez pas à consulter nos nouvelles fiches de produits. Les personnes déjà certifiées pourront aussi s’inscrire à cette nouvelle offre.
TQ-Base – Répondant et opérateur qualité
TQ3 – Responsable système de management intégré
Publié le mercredi 11 janvier 2017
Vous avez l’impression que vos audits internes n’apportent que peu de valeur ajoutée à votre entreprise et qu’ils ne représentent dès lors qu’un exercice alibi pour conserver votre certification?
Pourtant l’audit interne peut être une activité dynamique et une source de progrès. Bien mené, il conduit à une plus grande implication des collaborateurs de l’organisation et à une amélioration continue visant un véritable pilotage de l’entreprise. Il donne du sens aux PDCA et met en valeur les progrès réalisés. Fort de ce constat, les concepteurs de la norme ISO-9001 ont positionné à juste titre l’audit interne dans le chapitre « Evaluation de la performance ». Finalement un des points essentiels est d’assurer que l’audit soit source d’améliorations et un enrichissement pour les auditeurs comme pour les audités.
Ces formations ARIAQ visent ces objectifs
Publié le mardi 6 décembre 2016
Piloter une production basée sur de faibles volumes tout en offrant un haut niveau de diversité de produits représente un réel défi organisationnel. En Suisse, l’industrie ne peut bien souvent pas proposer des hauts volumes de production par contre elle se doit de flexibiliser son offre par un « high mix low volume » correspondant aux attentes de plus en plus spécifiques des clients.
Cette flexibilisation idéale d’un point de vue marketing cache des obstacles opérationnels pas toujours évidents à traiter : gestion de la variabilité de la demande, gestion des stocks intermédiaires, prise en compte du niveau qualité des nombreux composants, détermination de la taille optimale des lots, gestion des contraintes, gestion du produit dès sa conception (gestion des articles et des nomenclatures, diversification retardée), etc.
Soutenir une production dans un environnement complexe est bien le but de plusieurs formations ARIAQ :
La formation Lean Manager répond aux défis d’un environnement de production à faible volume
Les modules de formation logistique mettent l’accent sur les flux et la gestion de ceux-ci
Publié le mercredi 2 novembre 2016
Les experts en management se rejoignent sur un point : l’agilité de l’organisation est une clé de sa pérennité. Si les exemples qui corroborent dans ce sens sont nombreux, le contrôle et la gestion de l’agilité ne va pas de soi. Pourtant une tendance se dégage. En effet, l’utilisation de méthodes telles que les plans d’expériences (ou DOE, design Of Experiments) ou plus largement de planification anticipée de la qualité ( ou QbD, Quality By design) identifie concrètement les activités clés assurant une plus grande rapidité du développement du produit tout en tenant compte des besoins des clients et ceux de l’organisation.
En une dizaine d’années le temps nécessaire pour concevoir un produit a été divisé par deux passant d’une moyenne de 48 mois à 24 mois notamment dans le domaine de l’automobile. Cette réduction ne peut évidemment pas se faire au détriment de l’intégration d’innovations et de nouvelles technologies répondant aux attentes des consommateurs en matière d’usage, de sécurité, de confort et de protection de l’environnement.
Parler de qualité en conception, c’est :
Cet objectif ne peut pas être atteint uniquement par la conception d’un prototype ou des tests de fiabilité. La connaissance et la compréhension des risques possibles et de leurs mécanismes s’avèrent nécessaires. ARIAQ permet grâce à ses formations d’acquérir les compétences pour lier durablement qualité, innovation et agilité de développement.
Qualité en conception (Quality by Design)
Publié le mardi 4 octobre 2016
Peut-on penser qualité sans innovation ou innovation sans qualité? Probablement pas. Même si l’innovation, par exemple, est devenue une sorte de religion : innover ou mourir. Le succès d’une organisation est souvent lié à sa capacité à innover et l’échec à son incapacité à créer de nouveaux produits. Mais les choses ne sont pas si simples puisque beaucoup d’organisations créent de nouveaux produits sans pour autant avoir du succès.
L’innovation qualitative est celle qui parfois perturbe ou dérange car elle appelle une transformation profonde de l’existant. Dès lors, faut-il encore écouter ses clients ? Beaucoup de managers pensent que leurs clients ne savent pas ce qu’ils veulent jusqu’au moment où on leur montre ce qu’ils peuvent avoir. Compter sur ses clients pour nourrir son processus d’innovation semble dès lors bien risqué.
Si la gestion de la qualité demande de la rigueur, la gestion de l’innovation permet certainement une plus grande souplesse. Ainsi la mise en œuvre de l’innovation se caractérise par un choix d’outils pouvant être adaptés à chaque activité.