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Publié le mardi 4 juillet 2017
Les responsables de la digitalisation veulent changer le monde car, pensent-ils, l’information à leur disposition pourra leur permettre de mettre à plat les processus de réalisation. Utopie ou réalité imminente ? Alors que les robots faisaient peur aux cols bleus, ce sont aujourd’hui les métiers de médecins, banquiers et assureurs, pour ne prendre que quelques exemple,s qui voient leurs activités totalement bouleversées par la digitalisation du savoir.
Aujourd’hui dans la plupart des métiers, et ceux liés à l’amélioration de la qualité ne font pas exception, lorsqu’il s’agit de résoudre un problème ou de répondre à une question, trois pistes sont habituellement utilisées :
Finalement, quelle place restera-t-il encore pour le spécialiste soudainement mis en compétition avec un savoir universel à la portée des robots comme des humains ?
Si le savoir n’est plus forcément l’élément déterminant détenu par le spécialiste, on observe que ceux-ci développent leurs capacités à tenir des rôles particuliers pour résoudre des problèmes. Cela explique l’explosion des travailleurs indépendants. Deviendront-ils tous des facilitateurs, des coaches, des motivateurs, ou des organisateurs ? L’avenir le dira.
Publié le mardi 6 juin 2017
Manifestement pas. La plupart des personnes apprennent mieux si elles ont la possibilité de changer leur environnement d’apprentissage. Plus les environnements diffèrent, mieux on apprend. Cette situation s’explique par le fait qu’en quittant sa « zone de confort » la mémoire retiendra mieux les éléments à apprendre. Ainsi la connaissance deviendra indépendante de l’environnement contextuel dans lequel s’est déroulé l’apprentissage. Il est donc tout à fait profitable d’utiliser son laptop dans un café, un avion, un hôtel, à la maison, etc. afin de changer l’environnement dans lequel on se trouve. De la même manière, changer les heures d’apprentissage est aussi profitable. Finalement, plus les environnements sont différents, plus le cerveau sera capable de retenir les informations essentielles.
L’infrastructure pédagogique offerte par ARIAQ tient compte de ces phénomènes d’apprentissage. Pour cette raison, nos formations se déroulent parfois en entreprise, en salle blanche ou dans des salles aménagées très différemment en fonction des objectifs pédagogiques à atteindre.
Publié le lundi 1 mai 2017
Le nombre d’entreprises certifiées ISO 14001 en Suisse a plus que doublé entre 2005 et 2015, se montant aujourd’hui à près de 3300. A l’échelle mondiale, leur nombre augmente au rythme de 8% par an !
Ce n’est pas un hasard si la norme ISO 14001 s’est imposée au fil des années comme le fil rouge du management environnemental. Cette norme est un recueil de bonnes pratiques pouvant parfaitement s’adapter au mode de fonctionnement de toute organisation. Elle permet une intégration aisée dans le management de la qualité ou de la sécurité et santé au travail.
Implémenter et faire vivre un système de management environnemental (SME) consiste essentiellement à identifier et sélectionner les potentiels d’amélioration, définir des objectifs et plans d’action, maîtriser les impacts et les risques, suivre les prescriptions légales et veiller à la conformité, surveiller les activités et les résultats. L’approche doit naturellement prendre en compte les contraintes de l’entreprises en adoptant une mise en oeuvre progressive et pragmatique. Autant de missions qui nécessitent des compétences ciblées pour les personnes chargées de les réaliser !
Publié le mardi 11 avril 2017
ARIAQ a le plaisir de proposer dès le mois d’août une formation TQ3 entièrement repensée et adaptée aux besoins en constante évolution des organisations, quelle que soit leur taille et leur secteur d’activité.
À travers de nombreux exercices pratiques, les participants comprendront et utiliseront différentes normes ISO afin d’en tirer tous les bénéfices pour produire un système de management utile et efficace. La norme ISO 9001 est aujourd’hui une des meilleures références en matière de gestion des activités clés de l’entreprise. La priorité n’est plus mise sur le nombre de procédures écrites mais sur l’efficience du système de management qui, en fonction des besoins, pourrait être certifié.
L’approche pédagogique de cette formation, son format et son contenu ont été drastiquement modifiés afin d’amener une vraie plus-value pour les participants et finalement pour les clients des organisations.
La nouvelle formation TQ3 peut être complétée par l’option « + » visant à développer les compétences interpersonnelles. À cet effet, la formation sera axée sur l’amélioration des travaux en groupes, la communication sur les projets et la préparation de formations internes.
Publié le mercredi 1 mars 2017
Nous savons tous que le sommeil se déroule en plusieurs phases qui nous permettent d’assimiler ou de filtrer ce que nous avons appris la journée. Les études montrent que la première partie de la nuit est particulièrement propice à la rétention de faits bien précis comme des noms, des formules, ou des concepts. Si une personne se prépare pour un test faisant tout particulièrement appel à la mémoire, il est préférable de se coucher assez tôt.
Par contre, les phases de sommeil qui aident à consolider des gestes nouveaux, ou à développer des nouvelles idées se déroulent le matin juste avant le réveil. Donc si l’activité à réaliser le jour suivant est plutôt créative ou sportive, il est préférable la veille de rester éveillé un peu plus tardivement et de dormir un peu plus longtemps le matin. En résumé, s’il faut brûler la chandelle, vaut mieux connaître par quel bout commencer.