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Publié le vendredi 1 juin 2018
La notion de qualité est fréquemment rattachée à un produit ou à un service. Mais qu’en est-il de la qualité d’une décision ? Voici quelques pistes pour aider à prendre de bonnes décisions :
Rappelons-nous aussi de la signification de la prise de décision dans le contexte du contrôle de la qualité des services ou des produits !
Il s’agit d’évaluer de façon distincte la capacité du contrôleur ou du collaborateur à :
Publié le vendredi 20 avril 2018
Absentéisme, hausse des primes d’assurance, retards et problèmes organisationnels… les conséquences des accidents et maladies professionnels représentent un fardeau pour les employeurs et pour l’économie. Les chiffres parlent d’eux-mêmes puisque l’on enregistre près de 268’000 nouveaux cas en Suisse chaque année pour un coût direct de plus de 4.5 milliards de francs !
La norme anglaise OHSAS 18001 s’est imposée jusqu’à aujourd’hui comme standard en matière de gestion de la sécurité et santé au travail. Le développement de la nouvelle ISO 45001 a été motivé par le besoin d’une reconnaissance internationale plus large ainsi que par les évolutions en cours dans le monde normatif, en particulier l’adaptation à la structure HLS qui ont déjà vécues d’autres normes ISO au cours des dernières années.
Publiée le 12 mars 2018, ISO 45001 propose un cadre de référence pour gérer les risques sur le lieu de travail et pour permettre une amélioration de la performance dans ce domaine.
Les bonnes pratiques d’ISO 45001 peuvent parfaitement s’adapter au mode de fonctionnement de toute organisation, quelle que soit sa taille ou sa branche, et permet à la clé une reconnaissance externe par la certification. Désormais parfaitement alignée sur ISO 9001:2015 et ISO 14001:2015, elle permet d’intégrer la SST dans les autres systèmes de management et de contribuer ainsi plus largement à la concrétisation du développement durable.
Publié le dimanche 4 mars 2018
Les normes ISO touchent tous les domaines. En fait, il existe aujourd’hui plus de 22’000 normes développées dans leur grande majorité par des organisations professionnelles. L’eau et sa gestion sont des domaines particulièrement soutenus par un certain nombre de normes. Pourquoi ?
Fort de tels constats, ISO propose des aides concrètes contenues dans une série de normes :
Ces nombreuses normes témoignent de l’importance du traitement de l’eau et surtout de l’intérêt de ces normes pour la société. Ce n’est pas un hasard si la fondation Bill & Melinda Gates s’est tournée vers ISO pour les aider à développer des technologies fiables du traitement des eaux usées. Au 19ème siècle, on le disait déjà : « Quand le puits est à sec, on sait le prix de l’eau ».
Publié le mercredi 7 février 2018
Dans les organisations, il faudra s’habituer à une idée : « A la fin, ce sont toujours les ordinateurs qui gagnent ». Le champion du monde d’échecs Kasparov ou le champion du monde de Go Lee Sedol en ont fait l’expérience.
Tout aussi interpelant : on sait aujourd’hui que les machines peuvent être programmées pour tenir une conversation dont la qualité ne les distingue plus des humains et qu’en plus, elles arrivent à apprendre et à penser comme les humains (semble-t-il…).
Et quelles conséquences pour la formation des personnes ? Si les machines sont capables non seulement de traiter une masse vertigineuse d’informations, mais aussi de développer de l’intuition, sur quelles compétences les acteurs de la formation doivent-ils se concentrer ? On peut en identifier plusieurs. En voici 3 :
D’abord la capacité à gérer les interactions et les échanges entre les personnes. Dans ce domaine, les machines n’y arrivent pas bien. L’empathie, ce n’est pas leur truc et du coup, savoir comprendre ce qu’une autre personne peut penser ou ressentir devient un thème important pour la formation.
Ensuite, la capacité de résoudre des problèmes en groupe. Comprendre que chaque membre d’un groupe peut apporter une partie d’une solution qui peut finalement être très créative est un formidable objectif de la formation. L’équation 1 + 1 = 3 n’est pas évidente pour une machine.
Finalement la capacité à rassembler des éléments d’analyse, de savoir les présenter et pourquoi pas d’en créer une histoire porteuse de messages motivants est aussi un aspect qui peut être développé dans les formations. Et là aussi, les machines, pour l’instant, n’y sont pas vraiment. Ouf !
Publié le jeudi 25 janvier 2018
Les projets Lean s’appuient sur une structure de type DMAIC (Define-Measure-Analyse-Improve-Control). En fait, le DMAIC représente un squelette autour duquel s’articulent les projets Lean.
Si l’approche DMAIC est reproductible, la singularité du projet Lean provient de sa capacité à prendre en compte les aspects plus spécifiques de l’organisation, des objectifs, et des moyens.
Dès lors, les participants au projet devront dessiner leur propre chemin en étant parfois coachés.
L’expérience montre que le Lean, pour durer et répondre aux attentes, a besoin :
En résumé, le succès du Lean dépendra toujours de la vigueur, de la ténacité, et finalement de l’effort consenti. Nous le savons tous : Le seul endroit où le succès vient avant le travail, c’est dans le dictionnaire.