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Publié le jeudi 31 janvier 2019
Publié le lundi 28 janvier 2019
ARIAQ et les sections SAQ ont fêté le départ à la retraite de M. Peter Bieri, Directeur de la SAQ. Pour marquer le coup, quelques surprises ont agrémenté la cérémonie de remise des certificats ARIAQ/SAQ.
C’est une nouvelle recrue d’ARIAQ, Mme Margot Medjo’o, qui a chanté avec un talent certain pour le nouveau retraité.
94 personnes ont reçu un certificat, plus d’une centaine de personnes ont assisté à la cérémonie et à la présentation de l’entreprise Mimotec. Mimotec fabrique des pièces dont l’épaisseur peut faire le tiers de l’épaisseur d’un cheveu. Pas simple de suivre la qualité dans ces conditions.
Le prix ARIAQ 2018 de la Qualité a été remis à M. Thierry Clairottet qui a réussi le meilleur résultat 2018 des certifiés « Responsable en Système de Management Intégrés ».
Publié le vendredi 18 janvier 2019
Notre cérémonie de remise de certificats et attestations approche à grand pas et nous nous en réjouissons.
Nous vous rappelons que celle-ci débutera à 17h30 le 25 janvier prochain, à la rue Galilée 13 (bâtiment du restaurant « de couleur rouge » au 1er étage) à Yverdon-les-Bains.
Nous vous remercions d’annoncer votre venue au secrétariat d’ARIAQ si ce n’est pas déjà fait.
Publié le mardi 27 novembre 2018
Une enquête internationale réalisée par 59 médias, publiée dimanche, dénonce les lacunes du contrôle des implants médicaux (pacemaker, prothèse de hanche…). En Europe, les incidents seraient de plus en plus nombreux, difficiles à quantifier et à identifier.
Cette enquête baptisée «Implant Files» a été menée par plus de 250 journalistes dans 36 pays, dans le cadre du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ). Au terme de leurs enquêtes, les auteurs affirment que le nombre d’incidents liés aux «dispositifs médicaux» (pompes à insuline, pacemakers, prothèses mammaires, de hanche, d’épaule ou de genou) augmente partout dans le monde.
En cause, «des essais cliniques insuffisants et des délais de mise sur le marché trop courts», écrit notamment la cellule enquête de Tamedia. Mais aussi le fait que les dispositifs médicaux ne sont pas systématiquement contrôlés par l’État, mais par des organismes privés. Côté romand, 24heures et La Tribune de Genève publieront cette semaine dans leurs pages le fruit de leurs recherches en terres helvétiques.
Multiplié par cinq
Aux États-Unis, qui disposent d’un recueil de déclarations via une base de données, ces incidents auraient causé 82’000 morts et 1,7 million de blessés en dix ans, et auraient été multipliés par cinq, selon les estimations de l’ICIJ.
En France, selon les chiffres de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui tient un répertoire des signalements de matériovigilance, le nombre d’incidents lié à ces implants aurait doublé en dix ans, avec plus de 18’000 cas en 2017 et environ 158’000 incidents en dix ans, selon Le Monde. En Belgique, quelque 3800 «incidents» ont été recensés depuis 2013, mais ce décompte serait «largement sous-estimés», selon Le Soir.
Accès difficile
Les données resteraient globalement très incomplètes et souvent confidentielles, selon l’enquête, rendant impossible de dénombrer avec précision les incidents et de connaître la marque et le modèle des implants posés, et donc de retrouver les patients en cas de problème.
L’enquête déplore également des échanges peu transparents entre autorités de santé concernant ces incidents graves, alors qu’une base de données européenne, Eudamed, doit être mise en ligne en 2020, mais que les Etats membres sont en désaccord sur le degré d’informations à donner.
Pour rappel, divers incidents impliquant des dispositifs médicaux, comme des implants mammaires en silicone non étanches ou des prothèses de hanches défectueuses, ont fait naître ces dernières années des doutes quant au système de contrôle dans l?UE. Bruxelles avait donc adopté en 2017 de nouvelles règles.
Insuffisant
Selon les auteurs de l’enquête toutefois, ce nouveau règlement se contente de demander aux Etats membres de l’UE d’«encourager» les médecins à déclarer les incidents. En Suisse, la révision de la loi en cours, qui devrait être effective en 2020, prévoit de renforcer les exigences réglementaires pour tous les acteurs concernés. Les fabricants devront par exemple prouver de manière plus rigoureuse l’utilité et l’adéquation des produits à haut risque. (ats/nxp)
Source : www.lematin.ch
Publié le vendredi 23 novembre 2018
Les présentations peuvent être téléchargées dès à présent dans notre espace Alumni.
Rendez-vous au 31 octobre 2019 pour la prochaine édition. Comme toujours ARIAQ soutiendra le FOREP et son Comité toujours très engagé.